Quels que soient ses besoins, son milieu social ou son handicap éventuel, chaque enfant doit bénéficier d’un environnement scolaire le plus adapté possible à ses particularités individuelles… Ce principe est celui de l’école à visée inclusive.

Dans les faits, cela se traduit par une importante surcharge de travail pour le corps enseignant, parfois difficilement gérable. Quelles solutions développer? Engager davantage d’assistantes et d’assistants dans les classes régulières? Revenir à l’idée de classes spécialisées et aux aides individualisées? Développer d’autres pistes?
«Inclusivité à l’école: une quadrature du cercle?», avec point d’interrogation, c’est le titre de ce café scientifique qui réunit

• Mary-Claude Fallet, ex-présidente (PLR) du Grand Conseil neuchâtelois et ancienne membre de sa commission Education.
• Léonie Liechti, chargée d'enseignement à l’Institut de psychologie et éducation de l’Université de Neuchâtel.
• Pierre-Alain Porret, président du SAEN, le Syndicat autonome des enseignantes et enseignants neuchâtelois.
• Et Isabelle Noël, du Département de formation à l'enseignement, de l’Université de Fribourg.

Le débat est assuré par Sonia Bernauer Miaz, journaliste à la radio neuchâteloise RTN.