L’école à visée inclusive part d’un principe simple: quels que soient ses besoins, son talent, son milieu social ou son handicap éventuel, chaque enfant doit bénéficier d’un environnement scolaire le plus adapté à ses particularités individuelles. Dans la pratique, cela se traduit par une importante surcharge de travail pour le corps enseignant, même si la très grande majorité reconnaît l’objectif louable. Le manque de ressources mises à disposition en est une des causes. Faut-il dès lors engager davantage d’assistant-e-s dans les classes régulières? Ou continuer de regrouper les élèves, qui y éprouvent des difficultés, dans des classes spécialisées où une aide individualisée pourra leur être mieux dispensée? Ou encore explorer d’autres pistes?