Parcours

En 2012, Olivier Silberstein soutient un mémoire de master intitulé « Le comte derrière l’inquisiteur, procès de sorcellerie à la lumière des comptes seigneuriaux ». Il passe quelques années dans l’enseignement du français langue étrangère pour les jeunes migrants. Ensuite, il participe à l’élaboration du projet d’insertion professionnel de ces même jeunes, baptisé « MyConnection » et développé à Neuchâtel pour la Confédération. Enfin, il revient complètement à la recherche en histoire en 2016.

Assistant de l’Institut de 2016 à 2020, il développe des enseignements autour de ses recherches sur les questions de l’hérésie au Moyen-Age, les complots, crimes et conspiration, la perception de l’altérité pendant la croisade et les conceptions contemporaines des grands mythes médiévaux.

En parallèle, il s’investi dans la vie de l’Institut, à travers la représentation du corps intermédiaire au conseil de faculté (2016-2019). Depuis 2015, Il est président de la Société d’histoire et d’archéologie du canton de Neuchâtel, qui s’attache à soutenir et diffuser la recherche en histoire et archéologie régionale. Il fait partie du comité d’Unistoire, l’association de étudiants et anciens étudiant de l’Institut. Il est membre du comité scientifique de la Revue historique neuchâteloise.

Sa thèse s’intitule « Diffusion du concept du sabbat, analyse des effets du discours sur la secte des sorciers à travers le cas du comté de Neuchâtel (XVe–XVIe siècles) ». Elle s’attache à analyser la pratique de la répression judiciaire de la sorcellerie et l’évolution de la résistance ou de l’assimilation des conceptions de la secte des sorciers et sorcières sur une période à cheval entre la fin du Moyen-Age et le début de l’époque moderne.

Projet de recherche