Vu que le castor ne ravage pas directement des champs entiers en une nuit, mais qu’il se contente de transporter quelques plantes, il n’est pas toujours facile de reconnaitre tout de suite les traces de castor dans un champ de betteraves ou de maïs. Vous trouverez ici des images typiques de dommages sur toutes sortes de cultures.

Tiges de maïs coupées par un castor. La coupe se fait toujours à quelque 45 degrés par rapport à la direction de croissance, un peu au-dessus du sol. On reconnait toujours des traces de dents sur la section.

Tiges de tournesol coupées par un castor. La coupe se fait toujours à quelque 45 degrés par rapport à la direction de croissance, un peu au-dessus du sol. On reconnait toujours des traces de dents sur la section.
 

Passage du cours d’eau vers un champ de maïs. Généralement, quelques tiges de maïs restent en route.

Passage du cours d’eau vers un champ de maïs. Les surfaces sur lesquelles le castor emporte le maïs sont très modestes et se limitent le plus souvent à 1-2 ares.

Champ nourricier pour gibier utilisé par le castor (maïs, Allemagne) au printemps. Même si le maïs reste « disponible » tout l’hiver, les surfaces qu’il utilise restent modestes. 

Champ de tournesols proche d’un cours d’eau. La surface se limite à 1-2 ares.

Champ de betteraves sucrières proche d’un cours d’eau. La surface utilisée se limite à un demi are environ.

Champ de betteraves sucrières proche d’un cours d’eau. La surface utilisée se limite à un demi are environ.

Champ de betteraves sucrières proche d’un cours d’eau. La surface utilisée représente 1-2 ares.

Souvent, des mauvaises herbes poussent sur les surfaces libérées.
  

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